Vous êtes nombreux sur les réseaux sociaux à poser cette même question : « Mais pourquoi Le Chef Citron ? ». Allez, je vous explique !
Cyril ne s’est pas toujours fait appeler « Le Chef Citron », quoique ? Citron est un surnom qui lui colle à la peau depuis pas mal d’années déjà, avant même qu’il n’entre dans le monde de la cuisine.
Alors que notre cousin prononce ses premiers mots, nous tentons de lui apprendre nos prénoms respectifs. Oubliant qu’il était également dans l’apprentissage des noms de fruits et légumes, nous avons tenté de l’aider en disant : « Cyyyy… ? ».
Fou rire garanti quand il a répondu « CITRON !! ». C’est ainsi, qu’un délicieux et hilarant souvenir d’enfance lui attribuera son surnom qui donnera plus tard, le nom de notre boutique.
Mais penchons-nous maintenant sur le parcours du Chef Citron, celui qui confectionne les délicieuses recettes de notre Bocalerie.
Lorsqu’il eut terminé le collège, Cyril était déjà déterminé, il serait cuisinier. Il avait déjà été happé par l’amour de cuisiner en trainant dans les pattes de nos grands-mères et de notre mère.
Il a donc fait son entrée au lycée hôtelier Paul Augier, à Nice, pour un Bac technologique Hôtellerie-Restauration. Après l’obtention de ce dernier, avec encore la soif de parfaire son apprentissage, il a poursuivi son cursus en intégrant un BTS Hôtellerie-Restauration, qu’il obtiendra également. Je ne vous l’ai pas encore dit, mais Le Chef Citron est gourmand, tellement qu’il n’a pas pu s’arrêter là. Il s’engage alors dans une dernière année en intégrant une Mention Traiteur.
Durant ses 6 années d’études, il a pu mettre en pratique ce qu’il apprenait grâce aux nombreux stages proposés par son établissement, qui lui ont même permis de faire son expérience à l’étranger, comme en Espagne ou aux Philippines.
L’apprentissage scolaire étant terminé, le Chef Citron en devenir toujours aussi déterminé, il a pris son baluchon, a quitté son sud natal et est parti faire ses preuves à Paris, en intégrant les cuisines du Shangri-La. Commençant au bas de l’échelle, il a su faire ses preuves et gravir les échelons pour arriver à la place de chef de partie en un an et demi.
Un an et demi, loin du soleil et de la mer, c’est long… Et quand on vient du sud, on y revient toujours. Il est revenu à Nice avec énormément de choses apprises dans ses bagages, extrêmement heureux de ses rencontres professionnelles, d’ailleurs il m’en parle encore !
Nous sommes en 2020 à ce moment-là, la suite vous la connaissez si vous avez lu l’article précédent : « D’où est donc venue cette idée de créer notre Bocalerie artisanale ? ».
Et pour terminer cet article, il tient à remercier chaleureusement toutes les équipes dont il a fait partie, dont il a toujours beaucoup appris et avec qui il garde de très beaux souvenirs.
Audrey