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Le Chef Citron, son nom et son parcours
Vous êtes nombreux sur les réseaux sociaux à poser cette même question : « Mais pourquoi Le Chef Citron ? ». Allez, je vous explique !
Cyril ne s’est pas toujours fait appeler « Le Chef Citron », quoique ? Citron est un surnom qui lui colle à la peau depuis pas mal d’années déjà, avant même qu’il n’entre dans le monde de la cuisine.
Alors que notre cousin prononce ses premiers mots, nous tentons de lui apprendre nos prénoms respectifs. Oubliant qu’il était également dans l’apprentissage des noms de fruits et légumes, nous avons tenté de l’aider en disant : « Cyyyy… ? ».
Fou rire garanti quand il a répondu « CITRON !! ». C’est ainsi, qu’un délicieux et hilarant souvenir d’enfance lui attribuera son surnom qui donnera plus tard, le nom de notre boutique.
Mais penchons-nous maintenant sur le parcours du Chef Citron, celui qui confectionne les délicieuses recettes de notre Bocalerie.
Lorsqu’il eut terminé le collège, Cyril était déjà déterminé, il serait cuisinier. Il avait déjà été happé par l’amour de cuisiner en trainant dans les pattes de nos grands-mères et de notre mère.
Il a donc fait son entrée au lycée hôtelier Paul Augier, à Nice, pour un Bac technologique Hôtellerie-Restauration. Après l’obtention de ce dernier, avec encore la soif de parfaire son apprentissage, il a poursuivi son cursus en intégrant un
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Bocalerie artisanale
L’idée d’ouvrir une épicerie fine – traiteur a commencé à germer dans la tête de Cyril (aka Le Chef Citron) il y a déjà quelques années. Après avoir obtenu ses diplômes de cuisine et riche de ses diverses expériences professionnelles durant son cursus, le voici en route pour Paris, afin de parfaire son apprentissage dans les cuisines du Shangri-la.
Quelques années passent et le voilà de retour sur la Côte d’Azur. À ce moment-là nous sommes en mars 2020. Les restaurants ferment, la vie s’arrête ou presque. Cyril perd son emploi et moi, Audrey, sa sœur, à l’époque guide touristique, me retrouve dans la même situation.
C’est là que les idées commencent à fuser. Cyril rêve d’ouvrir son établissement, de devenir son propre patron. La période du Covid l’a tout de même fait réfléchir quant au dit commerce à ouvrir.
Il fallait donc trouver un concept qui permettrait à Cyril de continuer de cuisiner et régaler des clients, sans forcément ouvrir un restaurant. Il lui a suffi de penser aux gens qui se ruaient dans les magasins, pour dévaliser les rayons. Stocker à tout prix en cas de pénurie, de guerre ou, le cas présent, de pandémie.
Et là, ça a fait ‘TILT’ ! DES CONSERVES ! Mieux que ça, DES BOCAUX !